Le Patron de fon nous livre ces jours-ci sa vision du Travail dans la société française. C’est édifiant! Il pense que les Français considèrent le travail comme un élément de frustration au lieu d’y voir un moyen de se réaliser et de s’épanouir. Je suis assez d’accord avec lui sur ce constat, mais pas vraiment sur l’explication qu’il en donne :
« Creo que este error de enfoque en Francia ya viene desde la increíblemente exigente escolaridad que soportan los franceses… »
Notre éducation est l’une des meilleure du monde, et je ne l’échangerai jamais. Je crois plutôt que le plus gros problème des Français, c’est de considérer encore le monde du travail comme un lieu de conflits entre patronnat et salariés, incapable de s’auto-réguler et de produire le progrès social. Caricature (trop) entretenue par certains politiques…
Pour finir, je suis assez d’accord sur la fin de l’article de Martin quand il aborde la place du travail dans nos vies: nous passons presque les 3/4 de notre temps à étudier ou à travailler. Alors même si la vie n’est pas que travail, efforçons nous de faire du travail une source de satisfaction.
« Y si no lo es, creo que todos tenemos que pensar como lograr que por lo menos sea lo más placentero posible, ya que sin trabajo no tenemos sociedad »
[traduction rapide : et si ce n’est pas le cas, je crois que nous devons tous reflechir à ma manière de rendre le travail le plus agréable possible, car sans Travail il n’est pas de Société.]
2 Comments
La question qui taraude les français sur le lieu de travail n’est-elle pas : quel est le sens de tout ça ?
Entre les injonctions « soyez heureux » et la dureté indéniable (ou contagieuse par empathie) du monde …
Je vous rejoins complètement en ce qui concerne le dernier point.
test